Contre toute attente bon nombre de citoyens togolais avait déjà presque jeté l’éponge sur l’acte I des préalables qui consiste à libérer les détenus avant le démarrage des travaux. Au contraire ce point a été validé qu’en bien même que la réponse est sortie un peu tard dans la soirée du 19 février et communiquée à la presse nationale et internationale.
Il s’agit d’une mesure qui ouvre la voie au dialogue preprement dit réclamé par le camp de l’opposition dont le pouvoir a approuvé partiellement la libération des détenus politique sous la médiation du facilitateur NANA ADDO Akufo, président en exercice du Ghana. Par conséquent 45 sur 92 auront droit à une grâce présidentielle. Le reste des passera devant les juridictions dont le procès démarre ce mercredi 17 février.
Plus loin, la C14 demande la suspension des manoeuvres électorales locales et législatives officiellement annoncées.
Autre information capitale, pour des mesures d’apaisement et de la bonne marche dudit dialogue (le 27e à ce jour) le facilitateur a renvoyé les deux camps politiques sur vendredi 23 février prochain afin de leur donner le temps nécessaire pour la suite des pourparlers qui touche l’étape des points les plus sensibles.
La présente rencontre qui reunie pouvoir et opposition Prend sa source aux multiples sorties de l’opposition togolaise qui depuis un passé récent(19 août 2017) réclame l’alternance politique et le déverrouillage des institutions de la république.
Achiraf Ali
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