Afin de contribuer aux changements des comportements , attitudes et langages, empreints de violence et de destruction (qui sous-tendent ou qui sont porteurs de conflits dangereux) au cours des revendications socioprofessionnelles , sociopolitiques sur les lieux de travail, dans les établissements scolaires et universitaires , les hôpitaux et centres de santé , les marchés, la circulation , les cellules familiales et les lieux de cultes, Do No Harm, un terme anglais qui veut dire « ne pas nuire à autrui » vient poser ses valises au Togo surtout dans une période emportée par des actes de vandalisme et d’incivisme observés chez un groupuscule de population, la plupart incité par la situation qui prévaut le pays. Do No Harm qui a vu le lancement officiel le samedi 03 mars à Lomé vient donner un meilleur vivre ensemble et une paix durable pour tous les togolais.

Il s’agit pour les initiateurs qui sont entre autres les acteurs de la société civile, les universitaires les syndicats des conducteurs…, d’ une exhortation pour l’appropriation des valeurs du ‘’do no harm ‘’comme mode de vie à travers les principes de la construction de la cité de la préservation de la paix, le vivre ensemble, la proscription des actes qui nuisent à autrui ou qui portent préjudice à autrui ou encore qui causent du tort a ce dernier.
Crée dans une période difficile, les leaders de ce nouveau concept entendent convaincre par leurs actions à ce que les parlementaires votent une loi réglementant l’usage des réseaux sociaux au profit du vivre ensemble et de la paix durable au Togo.
Selon ADOM Orphé vice president et Coordonnateur du CJD, initiateur du DO NO HARM , Agir pour Batir la Cité, « depuis l’avènement de la démocratie dans les années 90 il ya eu montée de violences et d’actes inciviques , à travers ce concept nous voulons sensibiliser la population sur le vivre ensemble » a t-il indiqué.
ACHIRAF Ali
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