Après l’inventaire de la situation actuelle de la planète, le constat est amer : destruction de l’environnement, terrorisme, guerres, crime raciaux, violences. Pour faire face à ces nouveaux défis dont la principale cause vient de l’homme, les artistes plasticiens créateurs et des marchants ont décidé de faire front commun en réunissant leurs idées pour en faire de ce qu’on appelle aujourd’hui la gallérie ANIDOSSE.
Cette dernière coiffée par la promotrice KADANGA Atafèinan entend exposer des œuvres d’arts abstraits et figuratifs jusqu’au 02 mai prochain dans le seul but d’attirer les hommes à une prise de conscience sociale et environnementale tout en cultivant ce précieux mot qui est « la paix ».
L’exposition des galléries d’arts s’est officialisée aussitôt après son lancement devant la presse le jeudi 06 avril 2017 à l’hôtel Onomo (Lomé) en présence de l’ancien premier ministre Me joseph koffi koffigoh.
Ils sont sept au départ mais six artistes ont maintenu leur statut en se donner à cet exercice de peinture sur toile avec une orientation artistique constituant ainsi la gallérie Anidosse. En dehors de cette thématique qui généralise la gallérie, d’autres disciplines ont été également abordées pour présenter un large éventail d’œuvre d’arts.
Parmi ces créations sortes des œuvres d’Arts contemporain africain, une vingtaine de tableaux de peinture sur toile, trois sculptures sur pierre d’Albâtre, cinq sculptures sur bois, six statuts géants de modelage en papier mâché et deux sculptures en plâtre. Pour kokou Ekouagou, concepteur de la toile « Edou », l’Afrique est un continent de miracle et la paix s’acquiert par la consultation des oracles et le sacrifice d’un pigeon blanc. Voilà pourquoi son tableau prend un encrage polysémique. Toutefois l’artiste fait appel l’union des peuples quelque soit leur diversité culturelle
Si les guerres prennent naissance dans l’esprit des hommes c’est dans ce même esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix, relate l’acte constitutif de l’UNESCO de 1945. Dans cette même optique, la directrice de la gallérie pense que les artistes plasticiens sont bien placés pour sauver la nature avec leurs œuvres abordant des sujets comme la paix et la préservation de l’environnement.
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