Les récents événements survenus à sokode une localité située à 338km de Lomé ont fragilisé la ville et endigué les problèmes. pour éviter le pire les autorités de la ville ont décidé de sursoir les marches organisées par les partis politiques de l’opposition, une décision qui a prit effet au premier jour (07 Novembre )des manifestations avec dispersion sans faveur des militants par les forces de sécurité à indiqué le ministre yark de la sécurité au cours d’une conférence de presse animé ce 07 Novembre.
Que s’est il passé dans cette ville pour que les autorités locales decident de supprimer les manifestations ?
Depuis le 19 Août dernier l’opposition clame haut et fort le retour de la constitution de 1992, le vote de la Diaspora et le départ sans condition du président en exercice togolais Faure Gnassingbé.
Malgré quelques efforts de dialogue engagé et une lueur d’espoir de réforme avec le décret du gouvernement portant sur l’avant -projet de loi sur les articles 52 59 et 60 notifiant la limitation du mandat présidentiel et l’élection à deux tours,l’opposition désormais formée en coalition continue par faire sourde oreille. Leur seul dénominateur commun c’est le retour originel de la constitution de 1992 et le départ du président dont son nom n’est plus à citer.
Bien que l’ensemble des manifestations a été soldé par un résultat avec un lourd bilan en terme de chiffre de regroupement des manifestants à Lomé estimé entre 9.000 et 10.000 selon le ministre de la sécurité yark Damehane Sokode à vécu plutôt un scénario plus particulier.
Une note de la coalition au ministère de l’administration indiquant que sokode fait parti des 10 villes retenues pour les marches pacifiques.bizarrement ou question de prudence et de sécurité des civiles le préfet de la localité (vile de sokode )sursoit ces marches
Conséquence, aucun attroupement n’est formé malgré quelques tentatives Qui sont vouées à l’échec au niveau de kadanbara et didaourè.
Quelles sont les raisons évoquées du côté du pouvoir étatique ?
1. La loi du 16 mai Art. 13 :l’autorité administrative peut amener soit différer ou interdire la manifestation s’il y’a trouble à l’ordre public.
2.suite aux événements du 16 octobre faisant interpellation de L’IMAM de sokode, deux militaires ont été tué et leurs armes et munitions emportées, ce qui constitue une source d’insécurité dans les entendements du ministre
3. L’orque le commissariat à été brûlé, des armes emportées continuent par circuler dans la nature.
Tous ces indicateurs ont amené les autorités locales à sursoir les marches à sokode bien que l’opposition ait déclaré 3 jours de manifestations pacifiques, un suspense que réservent les deux jours à venir.
Achiraf Ali
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