Le patrimoine forestier togolais à sauvegarder: un document soumis à validation à Lomé

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En vue de valider le document servant de gestion durable des forets existantes et un accroissement du patrimoine forestier, trois ateliers conjoints sont initiés dont deux régionaux et un national .

Le Togo a été en 2010 sur la base des estimations connu comme un pays à fort taux de défloration (5,1%) et de faible couverture forestière. Pour relever cette image le gouvernement togolais à travers le ministère de l’environnement et des ressources forestières a élaboré sa proposition de mesures pour l’État de préparation. (R-PP) à la RDD+ . En ce sens, pour inverser les tendances actuelle de la déforestation et de dégradation des forets en optant pour une gestion durable des forets et un accroissement du patrimoine forestier une rencontre des acteurs dudit domaine s’observe à Lomé après donc les deux phases régionales.

ouverture de l’atelier par les officiels

Sur 157 participants regroupant les trois ateliers, Lomé retranche 57 qui a ce jour réfléchissent sur l’aspect amélioration et validation du rapport de mission relative à l’étude sur la création et la gestion durable des plantations forestières et agro-forestières.
Il s’agit d’une approche participative et inclusive qui touche beaucoup plus le particulier au sens où ce dernier en 2010 observait des plantations qui couvraient 50.000 ha avec 15 .000 ha du domaine de l’État contre 35.000 ha du domaine particuliers.

Cela va de sois que pour atteindre l’objectif fixé il s’avère qu’une attention soit mise surtout sur les planteurs privés qui pour le coordonnateur de la REDD+ ASSI Remond Hémou permettra de mobiliser les ressources après la validation du document et pouvoir contribuer à sécuriser le patrimoine forestier .

Achiraf ALI

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