Les choses se compliquent d’avantage au niveau du gouvernement. Puisqu’il faut trouver à tout prix une solution aux mouvements répétés des grèves des enseignants et manifestations chroniques des élèves, une équipe ministérielle dirigée par Gilbert Bawara, ministre de la fonction publique, du travail, de l’emploi, de la reforme administrative, de la sécurité sociale et de la promotion du dialogue social est dépêchée d’urgence depuis le mercredi 02 février et qui à échangé avec les centrales syndicales des enseignants jusqu’au 03 février 2017 à Sazof (Lomé)
Cette rencontre qui se penche sur la réflexion de la plateforme
revendicative des enseignants du Togo tire ses origines des récentes
sorties des élèves dans les rues sur toute l’étendue du territoire
national. Aux termes des travaux, une date a été arrêté sur consensus de toutes les parties prenantes pour que les conclusions qui ont fait l’objet d’adoption soient respectées.
Le groupe de réflexion estime que six(6) mois suffiraient pour que tout problème éducatif trouve enfin sa solution. Ces six mois prisent au consensus débouchent sur l’année académique 2017-2018. Mais la grande question dont le syndicat des enseignants a posé au ministre Bawara témoin de son collègue Komi Palamwé Tchakpélé, ministre des enseignements primaire et secondaire est « comment résoudre les crises actuelles et la période de transition avant les fameux six mois ? »
À cette question, tous les membres présents à cette réunion
extraordinaire se sont entendu sur une durée de deux semaines afin que les conclusions issues de ces échanges puissent être revues après le dépôt à la table du premier ministre et que le dernier mot qui ressortira soit un signe de soulagement pour les enseignants.
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